De l’autre côté du temps – Méditations sur les vestiges et les ruines des civilisations
Tout jeune, Jean Orizet découvre l’Afrique romaine. Cette équipée, suivie d’études classiques, est à l’origine de son goût pour les vestiges des civilisations.
« Tous les hommes ont un secret attrait pour les ruines. » Chateaubriand
L’auteur évoque plus de cent sites qu’il a visités dans le monde : Lascaux et Solutré, Pompéi et Syracuse, Carthage et Baalbek, Mycènes et Cnossos, Palmyre et Babylone, Jéricho et Massada, les pyramides d’Égypte et celles des Mayas, le temple d’Angkor et la Grande Muraille de Chine, les pagodes de Bagan et les jardins secs de Kyoto, Pecos et Pueblo Bonito, Grand Zimbabwe.
Ni historien, ni ethnologue, ni archéologue, Jean Orizet se veut simple écrivain curieux et lapidaire, accompagné de ses « alliés substantiels » : Héraclite, Homère, Virgile, Ovide, Hérodote, Thucydide, Borges, Paz, Caillois, Segalen, Suarès, Gracq, Braudel, Veyne. Suivons-le dans cette passionnante quête de soi et des autres, « de l’autre côté du temps ».
Illustration de couverture : La mère et l’épouse d’Ouserhat. Tombe d’Ouserhat. XIXe dynastie. 1294-1279 av. J-C. Metropolitan Museum of Art.