La Révolution vagabonde
La liberté, essence même du roman, légitime toutes les audaces.
En pleine Révolution, François de Llucia tombe éperdument amoureux de L., qui fuit la guillotine aux Amériques.
De nos jours, l’auteur de ces lignes, descendant de François, glisse dans les doux filets de Helle, héritière de L., pour un ballet à quatre cœurs au fil du temps.
De son refuge irlandais, le vieux Maître jubile.
À quitte ou double, les sosies s’invitent à la fête.
Le marquis de Sade signe la cent vingt et unième journée de Sodome, quand, du haut des gratte-ciel, comme des Pyramides conquises par le fougueux Bonaparte, deux siècles nous contemplent.
Bienvenue de l’autre côté du miroir !