Une vie sans tricher
Pascale Petit dévoile une autobiographie touchante et sincère. « Une vie sans tricher » parle ouvertement de sa magnifique carrière d’actrice, mais aussi de ses doutes, de ses amours… Plus qu’une…
En 1956, mariée à l’acteur Jacques Portet, dont elle divorce en 1960, Pascale Petit travaille dans le salon de coiffure Carita où elle est remarquée par une cliente, l’actrice Françoise Lugagne, alors épouse du réalisateur-acteur Raymond Rouleau.
Elle fait ses débuts au cinéma dans Les Sorcières de Salem (1957). Mais c’est avec sa prestation dans le film de Marcel Carné, Les Tricheurs qu’elle acquiert la notoriété au point de se voir décerner, elle qui ne suivit jamais la moindre formation de comédienne, le prix Suzanne-Bianchetti 1958. À la sortie du film, elle est vue comme l’une des actrices les plus talentueuses du moment, son naturel et sa spontanéité l’emportant sur les actrices plus classiques qui tournaient alors.
Georges Sadoul la classe même parmi les « quatre acteurs supérieurement doués » de l’époque. En 1959, lors du Festival de Moscou, elle fait la connaissance du poète et comédien Giani Esposito et l’épouse plus tard, durant le tournage du film Une fille pour l’été. Avant de divorcer, le couple a eu une fille, Nathalia , dite Bojidarka, née en 1963. Sous le nom de Douchka, elle est devenue, à vingt ans, ambassadrice des productions Disney France.
Pascale Petit dévoile une autobiographie touchante et sincère. « Une vie sans tricher » parle ouvertement de sa magnifique carrière d’actrice, mais aussi de ses doutes, de ses amours… Plus qu’une…