Olivier Haertig est né avec une malformation du cœur faisant de lui un « enfant bleu ».
La toute jeune chirurgie cardiaque était sa seule planche de salut. À neuf ans, une opération palliative améliore son état, et il attend de « passer son bac » pour une réparation complète.
Quelques années plus tard, diplôme d’HEC, maîtrise d’Histoire et MBA en poche, il rejoint un groupe bancaire sans rien révéler de son passé médical.
Retraité, mû par un devoir de mémoire, il s’attelle à la rédaction d’un livre consacré à celui qui a transformé sa vie.
Préface de Francine Leca La chirurgie cardiaque française n’existait pas en 1950. Quinze ans plus tard, un chirurgien d’élite hissait son service à l’Hôpital Broussais au premier rang mondial, porté…
